Visite des Archives Nationales le 7 février 2025 après midi

Les Archives nationales sont situées au sein de l’hôtel de Soubise, dans le Marais

 Nous avons rendez-vous à l4 h à l’accueil. L’entrée de l’hôtel de Soubise est au 60 rue des Francs Bourgeois. La façade est impressionnante, la porte monumentale.  Nous traversons une vaste cour d’honneur pour arriver au musée des Archives Nationales.

 Solange et Céline, notre conférencière, nous accueillent. Nous sommes 16 participants. Après distribution d’écouteurs, la conférence commence autour d’une maquette de l’hôtel de Soubise - Rohan. Céline nous explique l’historique de l’achat et de l’aménagement de l’hôtel de Soubise - Rohan.

 Tout peut-être document d’archive, nous explique Céline : des objets comme une pierre de la Bastille, des clefs, des documents écrits sur papyrus, parchemin ou papiers ou tablettes de cire. Les documents originaux ou les fac-similés…

Une bulle papale est exposée. C’est un original. Seul le Pape peut signer en plomb.

Les Archives Nationales conservent les documents de l’histoire de France, comme la Déclaration des droits de l’homme dont on voit plusieurs reproductions.

 Au centre des dépôts Napoléon ⅠⅠⅠ, se trouve l’armoire de fer dans laquelle sont conservés les documents les plus importants.

 Céline répond à nos questions. Elle nous explique la différence entre la Bibliothèque Nationale de France qui répertorie et conserve un exemplaire de tous les ouvrages publiés en France et les Archives Nationales qui répertorient et garde les documents qui concernent le gouvernement de la France.

Après la visite de l’exposition permanente et des autres salles du rez de chaussée, nous allons au premier étage en passant par la Cour de Clisson car l’escalier d’honneur est temporairement inaccessible.

Les salles se succèdent où explose le style rococo ou rocaille : dorures, stucs, tableaux de maîtres, tentures et mobilier d’époque. On pourrait se croire au château de Versailles.

 La dernière salle visitée est la chambre à coucher de la princesse de forme ovale et qui s’ouvrait sur les jardins dessinés par Le Nôtre.

 Gisèle Sarfati